Les recettes de Maria : une cuisinière à domicile pour les vacances

Oui, vous avez le droit ! Vous avez le droit, pour une fois, de ne pas avoir à gérer les repas, faire les courses et cuisiner. C’est les vacances, les cigales chantent et Maria, cuisinière à domicile vous propose de profiter pleinement de vos amis et de votre famille. Ne pensez à rien, elle s’occupe de tout : les courses, le repas, cuisiner et ranger la cuisine pour ne vous laisser que le meilleur : vous laissez apporter les plats à table et savourer ! Zoom sur cette cuisinière à domicile et ses prestations savoureuses, d’une grande simplicité pour des vacances en toute sérénité.

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Oui, vous avez le droit ! Vous avez le droit, pour une fois, de ne pas avoir à gérer les repas, faire les courses et cuisiner. C’est les vacances, les cigales chantent et Maria, cuisinière à domicile vous propose de profiter pleinement de vos amis et de votre famille. Ne pensez à rien, elle s’occupe de tout : les courses, le repas, cuisiner et ranger la cuisine pour ne vous laisser que le meilleur : vous laissez apporter les plats à table et savourer ! Zoom sur cette cuisinière à domicile et ses prestations savoureuses, d’une grande simplicité pour des vacances en toute sérénité.

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Oui, vous avez le droit ! Vous avez le droit, pour une fois, de ne pas avoir à gérer les repas, faire les courses et cuisiner. C’est les vacances, les cigales chantent et Maria, cuisinière à domicile vous propose de profiter pleinement de vos amis et de votre famille. Ne pensez à rien, elle s’occupe de tout : les courses, le repas, cuisiner et ranger la cuisine pour ne vous laisser que le meilleur : vous laissez apporter les plats à table et savourer ! Zoom sur cette cuisinière à domicile et ses prestations savoureuses, d’une grande simplicité pour des vacances en toute sérénité.

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Les sorties de l’été, laissez-vous guider !

Pour sortir des sentiers battus, rien ne vaut les conseils de l’Office de Tourisme. Passez un été sous le signe de la découverte grâce à ces activités qui vous mènent au plus près du terroir et des artisans du Sud Luberon. En route pour les belles découvertes de l’été : des balades avec un âne, concerts dans les domaines viticoles en passant par les ateliers savoir-faire en famille sans oublier les visites de villages proposées par l’Office de Tourisme !

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Pour sortir des sentiers battus, rien ne vaut les conseils de l’Office de Tourisme. Passez un été sous le signe de la découverte grâce à ces activités qui vous mènent au plus près du terroir et des artisans du Sud Luberon. En route pour les belles découvertes de l’été : des balades avec un âne, concerts dans les domaines viticoles en passant par les ateliers savoir-faire en famille sans oublier les visites de villages proposées par l’Office de Tourisme !

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Pour sortir des sentiers battus, rien ne vaut les conseils de l’Office de Tourisme. Passez un été sous le signe de la découverte grâce à ces activités qui vous mènent au plus près du terroir et des artisans du Sud Luberon. En route pour les belles découvertes de l’été : des balades avec un âne, concerts dans les domaines viticoles en passant par les ateliers savoir-faire en famille sans oublier les visites de villages proposées par l’Office de Tourisme !

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Pétales de Rose, les jolies fleurs du Luberon

Rencontre avec Sandrine, propriétaire de la boutique Pétales de Rose à La Tour d’Aigues, qui ne se destinait pas à l’origine au métier d’artisan fleuriste. Elle nous invite dans sa boutique pour nous parler de son parcours atypique, et partage son amour pour les jolies fleurs, sa manière de travailler écoresponsable, et son envie de satisfaire au mieux sa clientèle. Bienvenue chez Pétales de Rose !

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Rencontre avec Sandrine, propriétaire de la boutique Pétales de Rose à La Tour d’Aigues, qui ne se destinait pas à l’origine au métier d’artisan fleuriste. Elle nous invite dans sa boutique pour nous parler de son parcours atypique, et partage son amour pour les jolies fleurs, sa manière de travailler écoresponsable, et son envie de satisfaire au mieux sa clientèle. Bienvenue chez Pétales de Rose !

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Rencontre avec Sandrine, propriétaire de la boutique Pétales de Rose à La Tour d’Aigues, qui ne se destinait pas à l’origine au métier d’artisan fleuriste. Elle nous invite dans sa boutique pour nous parler de son parcours atypique, et partage son amour pour les jolies fleurs, sa manière de travailler écoresponsable, et son envie de satisfaire au mieux sa clientèle. Bienvenue chez Pétales de Rose !

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À la découverte des moulins à huile d’olive du Sud Luberon

L’automne est la saison des récoltes dans le Sud Luberon. Après le raisin, dont les vendanges animent le paysage de septembre, on cueille l’olive verte en général au mois d’octobre et au mois de novembre. La récolte des olives est profondément ancrée dans les traditions méridionales, à tel point qu’on lui donne en Provence un nom : l’olivade. Dans le Sud Luberon, elle s’étale d’octobre à janvier, en fonction de la maturité des olives.

moulin bastide du laval
L’oliveraie de La Bastide du Laval

L’olive et la Provence

L’olive et la Provence, c’est une histoire qui ne date pas d’hier, puisque l’olive arrive à Marseille vers 600 av. J.-C. dans les bagages des Phocéens, puis ce sont les Romains qui vont intensifier sa culture dans toute la Provence grâce à leurs légions et leurs colons. Présente dans tout le bassin méditerranéen depuis l’Antiquité, l’olive ne compte pas moins de 800 variétés.

Plus qu’un arbre, l’olivier incarne les civilisations méditerranéennes. Symbole de paix, de sagesse, de force et de victoire, son tronc est magnifique et tortueux, son écorce est crevassée, son bois est dur et dense et son feuillage est persistant, donc toujours vert. C’est aussi un arbre qui vit très vieux, plus vieux que le chêne, d’ailleurs, en Provence on dit qu’« à 100 ans, un olivier est un jeune homme » ! Aujourd’hui, il est utilisé par les géographes comme repère pour définir la frontière naturelle de la zone méditerranéenne.

Olivier
Les oliviers du Luberon

En 1840, la France comptait 26 millions d’oliviers sur 168 000 hectares, mais ceux-ci subirent la concurrence de la vigne en terme de rentabilité, si bien que lors du gel fatidique de 1956, la France ne comptait plus que 8 millions d’oliviers sur 50000 hectares. Les températures terribles (-20°C) qui frappèrent le Sud de la France en février 1956 survinrent après un mois de janvier particulièrement doux qui avait favorisé le réveil de la végétation. Les deux tiers des oliviers furent décimés.

Les variétés d’olives du Luberon

Dans le Luberon, c’est la variété Aglandau qui est la plus présente. Elle est aussi la plus répandue en Provence, parce que plus intéressante avec des rendements élevés, elle entre aussi dans la composition de l’AOC de la Vallée des Baux, l’AOC du Pays d’Aix, l’AOC Provence, l’AOC de Haute Provence. Sa saveur est puissante et ardente, elle produit de l’huile fruitée et onctueuse.

La Bouteillan qui donne une huile ardente et herbacée, la Picholine dont la chair ferme et croquante est très prisée des amateurs de cocktails, la Salonenque qui fournit une huile au fruité vert, assez douce, et la Cayon composent le reste des champs d’olivier. Question rendement, il faut en moyenne 6kg d’olives pour obtenir un litre d’huile, mais cela peut varier de 4kg à 10kg. Mais l’olive n’est pas à l’abri de dangers qui peuvent amoindrir, voire anéantir toute une récolte. Les parasites comme la mouche sont un véritable problème, selon les saisons. Elle pond ses œufs dans les olives et les rend impropres à la consommation. Mais un autre danger venu d’Italie inquiète les oléiculteurs provençaux. Originaire d’Amérique centrale et incurable, la bactérie « Xylella Fastidiosa » a déjà fait des ravages sur les oliviers dans la région des Pouilles et on la trouve désormais sur une partie du littoral méditerranéen, dans la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, près de Menton, entre Nice et Fréjus et à Toulon, ainsi qu’en Corse.

Si on ne pourra jamais totalement protéger les olives des aléas climatiques et des parasites, l’huile d’olive de Provence est aujourd’hui protégée par une appellation AOP européenne. Elle s’étend sur quatre départements et 464 communes, soit une belle reconnaissance et une arme efficace contre les contrefaçons ! Le terme Provence est signe de qualité, le cahier des charges et la définition géographique du label représente l’identité des producteurs, avec le terroir qui les caractérisent et leurs spécificités.

La récolte des olives en Provence : l’olivade

recolte des olives
L’olivade : la récolte des olives en Provence

La récolte se fait à la main, ou plutôt à l’aide peignes vibreurs électriques qui font tomber les olives dans les filets posés à même le sol. Les ouvriers remontent les lignes d’olivier en tirant avec eux le filet pour récupérer toutes les olives, qui sont ensuite regroupées dans des caisses et emmenées rapidement au moulin. Les olives sont triées, effeuillées et lavées et sont ensuite triturées immédiatement par extraction à froid pour que le pur jus de fruit garde tous les éléments constitutifs des arômes. La trituration est l’opération qui consiste à faire sortir le jus du fruit et récupérer l’huile.

Les différents moulins à huile d’olive du Sud Luberon

Le processus d’extraction de l’huile comprend quatre étapes fondamentales : le broyage, le malaxage, la décantation par centrifugeuse et la séparation verticale. Mais pourquoi parle-t-on d’une huile d’extraction à froid… ? Tout simplement parce que l’olive est extraite à une température inférieure à 27°C. Il faut cependant distinguer une huile de première pression à froid et une huile d’extraction à froid, la différence se situe au niveau la technique d’extraction : les moulins qui extraient l’huile de manière traditionnelle produisent de l’huile de première pression à froid, et les moulins qui extraient l’huile par centrifugeuse produisent de l’huile d’extraction à froid.

L'oliveraie de la bastide du laval
L’oliveraie de la Bastide du Laval

Si vous habitez dans la région et si vous récoltez des olives sur votre propriété, vous pouvez les apporter au moulin pour les triturer et récupérer votre huile. La pression privée des olives est assurée à partir d’une certaine quantité d’olives qui diffère selon les moulins. Au-dessous, les olives iront rejoindre un lot commun sélectionné et qualitatif. 

Dans le Sud Luberon, il existe quatre moulins à huile d’olive, qui sont tous aussi qualitatifs les uns que les autres.

#1 Le moulin de l’Auberge du Grand Réal

Entre la Tour d’Aigues et le village de La Bastidonne, entourée de vignes et d’oliviers, se trouve l’ESAT Le Grand Real.  Il offre une structure professionnelle à 39 adultes avec autisme. L’auberge du Grand Real est le point central de l’ESAT. Il met en avant les productions de l’exploitation, comme le maraichage, les fromages de chèvres, la viande de cabris ou de porc, le vin AOP Luberon, l’huile d’olive du moulin mais aussi la céramique et la ferronnerie.

L'huile d'olive du Grand Real
L’huile d’olive du Grand Real

Pour favoriser un rapport à la terre respectueux de l’environnement, le principe de l’agriculture biologique a été retenu pour le maraichage, le vin, les fromages de chèvre et l’huile d’olive.

L’oliveraie qui s’étend sur une surface de 2,5 ha est principalement composée des variétés d’olives Aglandau et Bouteillan. Le moulin du Pays s’est modernisé en 2018, avec l’installation d’un système d’extraction en continue. Il réalise la trituration d’olives pour les particuliers mais aussi pour les oléiculteurs professionnels. Plus de 400 clients y font triturer chaque année leurs olives. Le moulin propose des huiles d’olive AOC Provence (Bio et non Bio), caractéristiques de l’appellation. Leur nez fait ressortir des arômes de pomme ou d’artichaut cuit. En bouche les saveurs d’amandes, d’artichaut cuit ou cru, de verdure, voire de banane dominent.

#2 Le moulin Oliversion

Au moulin Oliversion, situé à Cucuron, l’ensemble de la production du domaine est certifiée en Agriculture Biologique. La gamme d’huiles d’olive bio est diversifiée. Principalement du fruité vert vierge-extra, naturellement poivré au goût typique d’artichaut cru ; mais aussi du fruité mûr et noir, qui sont des huiles d’olive plus douces en bouche. Le domaine a également une production de céréales biologiques, transformée sur place avec un moulin à farine artisanal.

moulin oliversion
La boutique du moulin Oliversion

Une gamme de cosmétique naturelle, réalisée avec l’huile du moulin est également proposée : savons liquides, solides, huiles sèches, liniment,…). Ainsi que de nombreux produits du terroirs (miels, terrines, vinaigres,…).

L’ensemble du domaine est en Appellation d’Origine Protégé (AOP). Les méthodes de fabrication employées permettent de préserver les qualités organoleptiques des olives. Cela permet ainsi de proposer des huiles d’olive très aromatiques, dont certaines ont une richesse en polyphénols naturels.

#3 Le moulin de La Bastide du Laval

Au moulin La Bastide du Laval, situé à Cadenet, le domaine, certifié en agriculture biologique, s’étend sur 30 hectares d’oliviers, de vignes et de bois. Un paysage typique du sud Luberon, à deux pas de 2 villages classés « Plus beaux villages de France » Ansouis et Lourmarin.

La boutique de La Bastide du Laval
La boutique de La Bastide du Laval

Ici, on cultive le goût, le fruité, les odeurs délicates. Au cœur de l’oliveraie, composée de 4000 arbres, se trouve la zone d’Appellation d’Origine Protégée « Huile d’olive de Provence » gage de traçabilité, de contrôle, de savoir-faire et de valorisation du terroir. La culture des oliviers se fait selon les principes de l’agriculture biologique. Le moulin peut également se visiter. »

La Boutique, véritable vitrine de l’Art de Vivre en Provence, présente les idées de cadeaux, des huiles d’olive, des produits du terroir. Vous pourrez aussi vous promener sur le chemin balisé au milieu des oliviers, suivre une visite guidée du moulin, et bien sûr, la dégustation des huiles et la visite de la magnifique boutique. La Bastide du Laval offre au visiteur une immersion et un contact privilégié avec les paysages et les traditions provençales.

#4 Le moulin Dauphin

C’est dans une grotte des remparts de Cucuron, que vous découvrirez l’un des derniers moulins à l’huile de la région, le moulin Dauphin. Jadis, surnommé « Cucuron les Olivettes », le village de Cucuron comptait pas moins de 7 moulins à huile.

La boutique du moulin Dauphin
La boutique du moulin Dauphin

Aujourd’hui le Moulin Dauphin allie les traditions de fabrication léguées de père en fils depuis 4 générations à une modernisation et mécanisation nécessaires à une certaine réglementation et à une meilleure prestation. Vous serez les bienvenus pour la transformation de votre récolte qui vous sera remise en équivalence d’huile. Le moulin fonctionne de la mi-novembre jusqu’aux premiers jours de janvier. La boutique, à 30 mètres du Moulin, offre, en plus de l’huile d’olive locale, toute une gamme de produits : de beauté, de spécialités alimentaires, d’articles en bois d’olivier, et de poteries, bougies.

Parce qu’elle est goûteuse, aromatique, colorée, l’huile d’olive mérite d’être sélectionnée avec soin ! Elle saura relevée tous vos plats, alors on vous souhaite avec un peu d’avance, un bon appétit !

Parenthèse « slow » au Domaine La Parpaille

Un écrin de verdure face à Cucuron

Bonne nouvelle : on a trouvé le joyau parfait pour vraiment déconnecter du quotidien, se ressourcer et recharger ses batteries. C’est à quelques minutes du pittoresque village de Cucuron que se trouve le Domaine La Parpaille. Une perle où les 3 piscines piscines côtoient un jardin fleuri où nos sens s’exaltent. Loin des clichés provençaux, vous ne trouverez pas ici de murs jaunes et des tapisseries surannées, ça non. À la place, une décoration raffinée, du béton ciré, des meubles chinés, retapés et repeint avec soin par Eve, la propriétaire des lieux. Ici, on prend le temps, on se reconnecte avec soi-même dans un cadre enchanteur qui semble isolé, loin de tout, comme une île déserte en plein cœur de la Provence avec la vue sur la majestueuse montagne du Luberon. L’art de vivre, en mode « slow Life » est la philosophie de la maison, autour d’un panorama exceptionnel avec de nombreux espaces pensés, pour vous permettre de profiter des journées et des nuits étoilées.

Cette imposante bâtisse du XVIIème siècle restaurée dans un style bohème contemporain, offre un lieu de ressourcement unique désormais incontournable dans le Sud Luberon. Venez profiter d’un séjour dans une maison d’hôtes exceptionnelle dans une atmosphère cosy et nature.

L’histoire de cet oasis de calme

La piscine principale partagée
La piscine principale partagée

C’est en sonnant au portail que vous entendrez pour la première fois la voix d’Eve. Et pour que la magie opère on ne peut décemment pas la qualifier de « slow ». À l’inverse, elle vous accueille avec une énergie et un sourire contagieux. Elle s’occupe de tout ou presque dans le Domaine. De nature généreuse, elle accueille les touristes mais aussi les locaux à la recherche d’une bulle de ressourcement sans partir à des heures de chez eux. La maison se trouve à 10 mins de Lourmarin, 30 mins d’Aix-en-Provence et à 1h de Marseille.

Cette maison, c’était celle des parents d’Eve. Ils ont eu le coup de cœur pour cette charmante bâtisse lorsqu’elle n’était encore qu’une ferme. Au milieu des champs de vignes, Eve a modelé la propriété sur la base de ses souvenirs d’enfance. Son ambition : vous faire vivre un moment, à votre rythme, aux saveurs de ce qu’il y a de meilleur en Provence. Sa devise, profiter du temps qui passe !

Les différentes chambres

Le Domaine La Parpaille possède 5 chambres d’hôtes qui ont chacune leurs particularités et leur univers. Entre luxe et simplicité, elles ont chacune leur style et un nom évocateur : Lumière d’Etoile, Mon Amour, Romance, Tendresse, Pierre de Lune, l’Attrape Rêves. Des noms tout en douceur qui rappellent une fois de plus l’atmosphère qui règne dans cette ancienne ferme protestante. À savoir, dans le Sud de la France, les protestants sont appelés « les Parpaillots » d’où le nom du domaine « la Parpaille« .

La table d’Eve

Quand gourmandise rime avec bien-être ! De juin à fin septembre, le Domaine la Parpaille propose une table d’hôtes, tous les samedis soirs. Une cuisine inventive et de saison avec des produits locaux. Beaucoup de légumes, d’épices. Tout est fait maison. La table d’hôtes propose un menu complet avec entrée, plat, fromages, dessert, café ou verveine du jardin.

De juin à septembre, selon les soirs, aperitivo servi au bord de la piscine, ou soirée pizza. Egalement des cagettes repas avec des tapenades, des fromages, des fruits et des biscuits – en libre service. Les autres mois de l’année, des planches gourmandes avec soupe de saison, tarte salée et salade sont servies le week-end.

Et en hiver, place au brunch gourmand, deux dimanches par mois.

Que faire à proximité ?

Même si on serait bien tenté de rester lézarder au soleil près de la piscine à se nourrir des petits plats d’Eve et des senteurs du jardin, nous vous conseillons tout de même de profiter de cette situation idéale pour découvrir les villages du Sud Luberon ! Commencez par enfourcher un vélo et filez en direction de Cucuron.

En quelques coup de pédales, environ 10 minutes, vous serez au cœur du village. Il est très apprécié pour ses vestiges des remparts et son incontournable bassin de l’Étang. Vous y trouverez toutes sortes de restaurants, allant de l’étoilé, La Petite Maison de Cucuron à la simple mais terriblement gourmande adresse de La glacière. Un peu plus loin, 2 domaines viticoles vous ouvrent leurs portes pour une dégustation des vins du Luberon : Le Château La Sable et La Cavale. Situé face à face, vous avez également la possibilité de découvrir les deux ! Pour les amoureux des animaux, profiter de votre séjour pour découvrir le centre équestre Cheval Enjeu. Véritable immersion dans le Luberon pour des balades à dos de cheval, des randonnées équestres, ou encore des stages.

La Parpaille
La Parpaille

Domaine La Parpaille
Chemin Blanqui
84160 Cucuron

Mob : +33 (0)6 75 98 06 70
Facebook & Instagram @domainelaparpaille

Visite VIP du Luberon Sud avec MyPrivate Transfer

Profitez des plus beaux endroits de manière privilégiée !

Le véhicule, un Volkswagen Transporter de couleur noire, brille au soleil. Nicolas Kallaghi, au costume impeccable, m’attend à l’heure prévue à notre point de rendez-vous, le château de La Tour d’Aigues. Nicolas est le fondateur de MyPrivate Transfer, une société de transport privé de voyageurs haut de gamme. La société transporte les voyageurs depuis les gares et aéroports de la région jusqu’à leurs lieux d’hébergements, mais propose aussi ses services pour les mariages et des des circuits touristiques dans le Luberon. Et aujourd’hui, il m’emmène visiter les plus beaux endroits du Luberon Sud. Autant dire que l’échappée sera belle…

L’accueil est irréprochable, très professionnel et convivial. Nicolas m’invite à prendre place dans le van, côté passager, et s’assure que rien ne manque à mon confort, ni à ma sécurité. Eau, masques et gel hydro alcoolique sont à portée de main, l’escapade peut commencer.

La conduite souple, Nicolas emprunte la route qui part de La Tour d’Aigues vers Grambois, un magnifique village perché, connu pour avoir servi de décor dans plusieurs films tirés des romans de Marcel Pagnol.

L’escapade se veut touristique, aussi l’allure est modérée, ce qui permet de profiter pleinement des paysages magnifiques qui défilent. Vignes, oliveraies, truffières, la balade se fait gourmande, et l’avantage d’avoir un chauffeur privé, c’est qu’il peut vous emmener partout où vous le voulez…

Alors pourquoi ne pas lui demander de faire une étape dans l’un des merveilleux domaines viticoles que compte le Luberon Sud ? L’autre avantage du chauffeur privé, c’est que vous ne conduisez pas, donc vous pouvez en profiter pour déguster (avec modération !) les bons vins des producteurs locaux.

Direction Grambois

À Grambois, nous faisons une pause au verger communal, près du pigeonnier où il fait bon se reposer à l’ombre des oliviers. La vue depuis cet endroit est magnifique, le regard embrasse littéralement le Luberon Sud : une merveille.

Nous quittons le village forteresse pour nous diriger vers Cucuron, par les petites routes de traverse. Comme le dit le dicton « prenez toujours la route scénique ». Cette dernière est bucolique à souhaits, sillonnant entre les collines et traversant de petites parcelles de vignes ponctuées de cabanons et de bastidons de pierres.

La route se poursuit dans la campagne, nous croisons quelques chevaux, et nous arrivons au charmant village de Cucuron. Il doit son nom aux deux mamelons sur lesquels il est construit. Le village est remarquablement préservé, et peut se targuer d’avoir l’une des plus belles places de Provence.

En route pour Cucuron

En effet, cette dernière est construite autour du « bassin de l’étang », ce qui en fait certainement l’une des places les plus originales du Luberon, et aussi l’une des plus photogéniques ! Et pour le plus grand plaisir des enfants, de joyeux poissons rouges frétillent dans l’eau… On se croirait presque dans un décor de parc d’attraction.

Du bassin de l’étang, une belle balade consiste à monter à travers les ruelles vers le vieux donjon, d’où une vue magnifique sur les toits de Cucuron vous attend. Des toits rendus célèbres par le film « Le Hussard sur le toit », où l’on y voit Olivier Martinez courir pour échapper à ses poursuivants.

De ce point de vue, vous pouvez ensuite redescendre vers le village et le traverser, jusqu’à l’autre extrémité : la tour ronde. En cet endroit, dernier vestige des remparts qui entouraient Cucuron au Moyen Age, une vue sur le donjon vous y attend, tout aussi magnifique que la précédente.

Et toujours dans votre champ de vision la montagne du Luberon, imposante et majestueuse à la fois, en particulier au coucher du soleil. Au printemps, les martinets voltigent au-dessus des têtes des passants, criant à qui veut l’entendre que les beaux jours sont de retour.

Marcher dans la quiétude de Cucuron à la tombée du jour, vidée de ses touristes, est un véritable privilège que les derniers promeneurs peuvent vraiment apprécier à sa juste valeur.

Tout près de Cucuron, le village de Vaugines, sublimé dans le film de Claude Berri, Manon des Sources. Nous arrivons près de la magnifique chapelle dans laquelle se marie Manon, là où, sur le banc, le « papet » Yves Montand apprend de la vieille Delphine la terrible révélation.

Rien n’a changé, ou presque…

Échappée belle à Villelaure

Petit village adossé à une colline, avec les pieds dans la Durance. La route est toujours aussi belle et sinueuse, le soleil toujours aussi brillant. Nicolas prend le temps de s’arrêter lorsque je le lui demande. Des photos, encore des photos, toujours des photos. La lumière est parfaite et chaque virage offre une nouvelle perspective, un nouveau point de vue, une nouvelle raison de s’arrêter.

Comme au bord de ce champ de coquelicots. Un champ magnifique, dense, rouge, mouvant. Les coquelicots se dandinent dans le vent, et quand une bourrasque de Mistral balaye le champ, une vague de rouge se forme à sa surface.

Le spectacle est saisissant. L’espace d’un instant, nous sommes projetés dans le tableau de Monet.

Nicolas en profite aussi pour m’expliquer que les champs sont éphémères, et qu’ils changent d’endroits chaque année. Ayant la chance de parcourir beaucoup de routes, il est le témoin privilégié de leur apparition.

Au loin, nous apercevons Ansouis, un des joyaux du Luberon Sud, perché sur son rocher. Ce sera notre prochaine étape.

L’approche est impressionnante, nous arrivons par la route venant de Villelaure, et au détour d’un virage, les maisons d’Ansouis apparaissent comme un bloc, accrochées au rocher. La vue est imposante, et n’a rien à envier à celle, iconique, de Gordes. Le village est lui aussi classé « plus beau village de France », mais présente l’énorme avantage de ne pas être aussi touristique et surpeuplé en été.

Le village est resté authentique, avec ses habitants, ses commerces ouverts à l’année, et son charme suranné. Nous en profitons pour nous promener dans ses petites ruelles, qui montent doucement vers le château.

Certaines maisons ressemblent à des maisons de poupées, tellement elles ont l’air petites. Arrivés sur le parvis de l’église Saint-Martin d’Ansouis, la vue est une nouvelle fois à couper le souffle. Devant nous, en direction de Lourmarin, s’étalent les vignes, les allées de cyprès, les collines au loin et la montagne du Petit Luberon. Tout est parfait et magnifique.

L’escapade touche à sa fin, le circuit touristique était bien préparé et le véhicule d’un confort absolu. Nicolas me raccompagne vers la Tour d’Aigues, l’appareil rempli de belles photos et le cœur heureux d’avoir fait une belle rencontre.

C’est certain, on repartira ensemble sur les petites routes du Luberon !